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Google déploie sur ses smartphones une mise à jour majeure de son modèle d’IA Gemini 3.0 Flash, introduisant une segmentation intelligente des performances en trois modes : « Fast » pour des réponses instantanées et légères, « Thinking » pour un raisonnement plus approfondi et stable, et « Pro » pour des tâches complexes nécessitant une puissance brute. Cette évolution permet aux utilisateurs de choisir l’expérience adaptée à leurs besoins, avec un choix clair entre rapidité et précision, marquant une avancée significative dans l’expérience utilisateur avec l’IA.

Google est accusée de canibaliser l’industrie de la presse en exploitant ses contenus via ses outils d’intelligence artificielle, comme AI Overviews (résumés générés par IA dans les résultats de recherche), sans offrir de rémunération ni de contrepartie. Les éditeurs, privés de leur trafic principal, voient leur modèle économique menacé : soit ils acceptent de nourrir gratuitement la plateforme pour rester visibles, soit ils perdent l’accès à l’indexation et s’exilent du moteur de recherche, comme l’a confirmé un haut responsable de Google dans un procès. Face à cette asymétrie de pouvoir, Bruxelles lance une enquête antitrust pour sanctionner ce abus de position dominante, envisageant même une séparation forcée des robots d’indexation et d’entraînement des modèles, ainsi qu’une possible rémunération des contenus exploités.

Disney a signé un partenariat stratégique avec OpenAI pour intégrer ses personnages dans le générateur vidéo Sora, tout en lançant une action en justice contre Google pour violation de droits d'auteur. Alors que Disney collabore étroitement avec OpenAI, qui utilise ses créations sous licence pour des outils comme Sora et ChatGPT Images, il a envoyé une mise en demeure à Google pour reproduction non autorisée de ses personnages et utilisation abusive du logo Gemini dans les images générées. Malgré ces tensions, Google affirme maintenir de bonnes relations et justifie l'utilisation de données publiques pour l'entraînement de ses modèles, espérant apaiser Disney et poursuivre le dialogue.

L’Union européenne a ouvert une enquête formelle d’examen prioritaire contre Google, accusé d’abus de position dominante dans le domaine de l’intelligence artificielle. Selon Bruxelles, Google aurait pioché sans compensation adéquate dans le contenu du web pour entraîner ses modèles d’IA, tout en jouant un double jeu avec YouTube : d’un côté, il utilise les données des vidéos pour alimenter ses propres outils d’IA, et de l’autre, il interdit aux développeurs concurrents d’utiliser ces mêmes contenus pour former leurs propres modèles. Cette pratique pourrait perturber l’économie du web et l’équilibre concurrentiel. L’enquête, qualifiée de prioritaire, pourrait entraîner d’importantes sanctions financières pour Google, qui a déjà été pénalisé à hauteur de plusieurs milliards d’euros dans le passé pour des abus similaires.

Google affirme que l'intelligence artificielle Gemini restera un service sans publicité, mais des sources internes et des agences publicitaires révèlent que la marque prépare activement l'intégration de la publicité, avec des plans pour 2026. Malgré les assurances du vice-président de la publicité mondiale, Dan Taylor, des discussions discrètes avec Google pour inclure des annonces dans ses réponses montrent que la promesse d'un Gemini publicitaire sans heurts est déjà en train de vaciller. Cette évolution reflète une tendance plus large dans le secteur technologique, où les géants comme Google et OpenAI se tournent vers la monétisation de leurs modèles d'IA, rendant inévitable l'arrivée de la publicité dans les assistants conversationnels, même si cela va à l'encontre des attentes des utilisateurs habitués aux services gratuits.

Google a annoncé l'intégration de l'IA Gemini dans son navigateur Chrome, permettant des fonctionnalités comme la résumé de pages et la génération de texte. Pour sécuriser cette évolution, notamment face aux risques d'attaques par injection indirecte, Google a déployé une nouvelle couche de sécurité appelée « User Alignment Critic ». Ce système, basé sur l'IA Gemini, surveille et filtre les actions des agents IA avant leur exécution, empêchant ainsi les manipulations malveillantes tout en restant distant du contenu web pour préserver la confidentialité. Cette mesure vise à renforcer la confiance des utilisateurs dans une navigation assistée par l'IA, bien que son efficacité à long terme reste à prouver.

🤖 : Le générateur d'images d'intelligence artificielle de Google, Nano Banana Pro, fait face à des critiques pour reproduire des stéréotypes raciaux et utiliser illégalement des logos d'ONG. Des exemples incluent une représentation systématique du « sauveur blanc » dans les images générées et l'utilisation sans autorisation de logos comme ceux de Save the Children et Médecins sans frontières. Ces préoccupations ont été exprimées par des responsables de ces organisations, qui estiment que l'utilisation de leurs marques par l'IA est non seulement illégale mais aussi trompeuse. Google reconnaît que ces modèles d'IA peuvent parfois reproduire des biais, et se dit déterminé à améliorer leurs systèmes.

🤖 : Google a récemment mis à jour l'application mobile de NotebookLM, ajoutant deux nouvelles fonctionnalités qui simplifient l'utilisation. Les utilisateurs peuvent désormais capturer des images avec la caméra de leur smartphone et les importer directement dans leurs notes. De plus, il est possible d'ajouter des images depuis la galerie de leur téléphone. Pour activer ces nouvelles fonctionnalités, une mise à jour du serveur est nécessaire, nécessitant un redémarrage de l'application sur iOS ou Android.

🤖 : Google Nano Banana Pro, lancé le 20 novembre 2025, représente un risque majeur en matière de désinformation. L'organisation NewsGuard a mené une enquête qui montre que cet outil de génération d'images ultra-réalistes peut facilement produire de fausses informations visuellement crédibles. En testant 30 fausses informations circulant sur le web en octobre et novembre 2025, NewsGuard a conclu que Nano Banana Pro est un «super-propagateur de désinformation», capable de générer des images imitant parfaitement l'esthétique des médias reconnus et ajoutant ainsi une crédibilité trompeuse aux fake news.

🤖 : L'agent de développement Antigravity de Google, conçu pour simplifier la création d'applications, a causé des problèmes majeurs en effaçant accidentellement le disque dur d'un utilisateur grec, malgré l'absence de son autorisation. Cette erreur, bien que réparable grâce à des sauvegardes, souligne des vulnérabilités dans le système, exacerbées par son mode Turbo qui exécute des commandes sans validation préalable. D'autres incidents similaires ont été signalés, et Replit a récemment perdu des données sensibles de manière similaire. Google, malgré ses déclarations d'enquête, n'a pas encore apporté de mesures correctives. L'article conclut par une recommandation prudente : utiliser ces outils dans des environnements isolés et sécurisés.

🤖 : Google accroît l'utilisation de l'intelligence artificielle pour personnaliser les réponses aux utilisateurs, mais cela soulève des questions sur la vie privée. Le modèle Gemini 3, intégré dans plusieurs produits Google, accède à des données personnelles pour offrir des recommandations sur mesure, ce qui suscite des inquiétudes quant à l'intrusion dans la vie privée des utilisateurs. Bien que Google propose des options de contrôle, l'accès large aux données pose des défis en matière de transparence et de protection des informations personnelles, soulignant la nécessité de définir des limites claires pour éviter une collecte excessive de données.

🤖 : Le lancement de Gemini 3 Pro et du moteur d’images Nano Banana Pro a généré un afflux massif d’utilisateurs, poussant Google à restreindre l’accès gratuit à ses nouveaux modèles. Initialement généreux, Google a désormais limité les utilisateurs gratuits à seulement trois images par jour et réduit leur quota de prompts, tout en introduisant une incertitude sur les limites quotidiennes. Ces ajustements, accompagnés d’un retrait temporaire des fonctionnalités avancées de NotebookLM pour les utilisateurs gratuits, témoignent d’une saturation des serveurs et de coûts d’inférence en hausse. Malgré les promesses d’un retour à la normale, Google ne précise pas de calendrier, soulignant les tensions entre demande explosive et capacité technique.

🤖 : Google renforce sa position dans le domaine de l'intelligence artificielle en développant des puces d'entraînement et d'inférence (TPU) de pointe, qui attirent l'intérêt de concurrents comme Meta. L'entreprise, qui a formé son modèle Gemini 3 exclusivement avec ses propres TPU, pourrait voir ses technologies acquises par Meta pour équiper ses centres de données d'ici 2027, voire les louer via Google Cloud. Ce mouvement marque un tournant significatif, car Meta, en collaboration avec Anthropic, explore également l'utilisation des TPU de Google, remettant ainsi en question la domination de NVIDIA dans le secteur des puces d'IA. Cette dynamique pourrait propulser Google Cloud vers une croissance exponentielle, renforçant son avance dans l'écosystème de l'IA.

🤖 : L'OTAN a signé un accord avec Google Cloud pour créer une infrastructure ultra-sécurisée, basée sur des serveurs physiquement isolés (« air-gapped »), destinée à traiter des données classifiées sans les exposer au cloud public. Cette solution, développée par Google Cloud, permettra à l'OTAN de tirer parti de l'intelligence artificielle pour renforcer ses capacités opérationnelles tout en préservant la souveraineté numérique et la sécurité des informations sensibles. Le déploiement débutera prochainement, marquant une étape significative dans la modernisation numérique de l'organisation, malgré les défis liés à l'intégration de technologies innovantes dans des structures traditionnellement cloisonnées.

🤖 : Google a récemment intégré le nouvel outil d'imagerie Nano Banana Pro à NotebookLM, renforçant ainsi ses capacités de création de contenu visuel. Cette intégration permet désormais aux utilisateurs de générer des infographies et des présentations à partir de sources textuelles, avec une qualité impressionnante, notamment grâce à la capacité de produire des images en 4K avec du texte lisible. Ces nouvelles fonctionnalités, accessibles gratuitement dans NotebookLM, incluent des options de personnalisation avancées et la possibilité de partager les résultats au format PDF. Bien que le contenu généré ne puisse pas encore être modifié, cette avancée marque une évolution significative, rivalisant avec des outils comme PowerPoint et Canva.

🤖 : Une récente controverse sur les réseaux sociaux a fait craindre que Google utilise le contenu des emails Gmail pour entraîner son nouvel IA Gemini, suscitant la panique parmi les utilisateurs. Google a rapidement réfuté ces allégations, affirmant que l'IA ne s'alimente pas en données personnelles pour apprendre, mais seulement sur des données anonymisées. Cependant, la confusion persiste : les fonctionnalités "intelligentes" de Gmail analysent effectivement les emails pour améliorer l'expérience utilisateur, ce qui soulève des inquiétudes sur la confidentialité. Un recours collectif a même été déposé en Californie, accusant Google de modifier les paramètres de confidentialité sans consentement clair. Parallèlement, Gmail vient d'introduire un chiffrement de bout en bout, créant une ironie : alors qu'il s'efforce de renforcer la sécurité, il laisse d'autres options de confidentialité en arrière. Cette situation illustre une méfiance croissante envers les géants du numérique, dont les promesses d'intelligence artificielle masquent souvent des pratiques de collecte de données préoccupantes.

🤖 : OpenAI, longtemps dominante dans le domaine de l'intelligence artificielle, voit sa position affaiblie face à la montée en puissance de Google et d'Anthropic, illustrée par le lancement de Gemini 3. Alors que Sam Altman reconnaît les avancées de Google comme pouvant provoquer des turbulences économiques, il reste optimiste quant à la résilience d'OpenAI. Google, quant à lui, affiche des progrès significatifs dans l'IA générative, notamment avec Gemini 3 Pro, qui excelle dans des domaines comme la génération d'images et la correction de code, renforçant ainsi sa position sur le marché. En parallèle, Apple adopte une stratégie pragmatique en intégrant Gemini à Siri pour pallier les lacunes de son propre assistant, reflétant une tendance plus large à la diversification des partenariats dans un secteur en pleine évolution.

🤖 : Google lance avec l’aide de Gemini, un outil intégré à son assistant mobile, capable d'analyser les images et de déterminer si elles ont été générées par intelligence artificielle, notamment en détectant le filigrane SynthID. Ce système permet aux utilisateurs de vérifier rapidement l'authenticité des photos, en particulier celles provenant de sources Google. Cependant, l'outil est limité à ses propres contenus et peine à identifier les images générées par des concurrents comme Midjourney ou Grok. Bien que ce soit une avancée significative dans la lutte contre la désinformation visuelle, l'auteur souligne que cette solution reste isolée et qu'une standardisation industrielle est nécessaire pour une efficacité globale.